Worldzik

Alma; Biographie, Discographie, Music, photos, Vidéos | Worldzik

Alma | Worldzik

Alma | Worldzik

Alma signifie à la fois « âme » et «petite fille », une artiste n’a jamais aussi bien porté son nom.
Cette jeune auteur­(e)­compositeur de 27 ans est l’ainée de trois sœurs pour lesquelles elle joue du piano et chante régulièrement, mais c’est quand elle décide de découvrir d’autres cultures et de voyager qu’Alma écrit ses premières chansons en anglais, entre le Brésil les États-Unis et l’Italie, tout en poursuivant ses études.

Après l’obtention de son diplôme d’une école de commerce, elle le sait, elle veut enfin se consacrer à sa passion de toujours, la musique. Elle pose ses valises à Paris et commence « le plus beau de ses voyages », celui qui la mènera à écrire et chanter tout ce qu’elle n’ose pas dire...

Elle rencontre Nazim, jeune auteur-compositeur-interprète, qui devient son double artistique et avec lequel elle signe la plupart des chansons de son premier album.
Avec une âme de petite fille et en douze chansons, Alma nous raconte une vie, sa vie, la nôtre, de sa voix aérienne qui nous berce autant qu’elle nous transperce...

Autour de son projet, elle a su fédérer une équipe de réalisateurs, d’auteurs et de compositeurs qui ont déjà collaboré à beaucoup de succès mais se sont adaptés à sa voix et ses mots subtils pour les faire évoluer dans un univers sur mesure: Nazim (Amir, Kendji, Yannick Noah, Claudio Capéo), David Gategno (Céline Dion, Louane), Pierre Jaconelli (Benjamin Biolay, Johnny Hallyday), Renaud Rebillaud (Maitre Gims, Black M), Les Skydancers/We are I.V (Frero Delavega, Vianney), Franck Authié (Irma, Greg June) ou encore Jeremy Poligné (Julie Zenatti…)

Si elle aborde des thèmes universels comme l’amour ou la mort, elle le fait avec un regard qui n’appartient qu’à elle, en funambule habile elle chante à la frontière entre deux mondes, celui du rêve et celui de la réalité brute, comme pour les réconcilier...

Dans « Requiem » elle cherche l’amour immortel comme ultime remède à la mort, dans « 8 ans et des poussières » elle raconte l’enfance ou plutôt le désir d’enfance qui ne l’a jamais quittée.
Dans « ma peau aime » elle se déshabille subtilement pour laisser apparaitre la griffure du désir de l'autre.
Dans « Ivre » elle nous invite à lire un dernier ver pour saouler sa peine et enfin s’oublier, mais c’est avec « La chute est lente », une ode moderne à l’amour qu’Alma se présente aujourd’hui et si « on ne guérit jamais de son enfance » comme l’écrit Jacques Brel, nul doute qu’Alma a trouvé en musique un remède pour nous emmener l’espace d’un instant, dans son monde où le temps se suspend.

Partager cet article
Repost0
Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article